Participez au PROJET « BUFFALO FARMER »

 Aidez -nous à l’achat d’une vache. La rentabilité d’une vache est immédiate et permettrait de construire une maison de bonne qualité dans 3 ou 4 ans, y compris durant ce laps de temps, subvenir à la scolarisation des enfants et les soins médicaux.

Ce que nous pouvons faire pour aider la communauté népalaise

Nous souhaiterions acheter une vache. C’est un bien extrêmement précieux qui permet de subsister à une famille et sa rentabilité est immédiate. La rentabilité d’une vache permettrait de construire une maison de bonne qualité dans 3 ou 4 ans, y compris durant ce laps de temps, subvenir à la scolarisation des enfants et les soins médicaux.
Au Népal une vache coûte entre 900 et 1100 CHF. Un jeune taureau coûte 300 CHF mais il ne sera rentable que deux ans plus tard.
Nous vous proposons de faire un don sur la base de 10 CHF minimum et vous en remercions par avance.
Si nous sommes 100 à faire un geste, nous permettons à une famille au moins de sortir de la misère et d’améliorer ses moyens de subsistance, en toute autonomie.
Nous pouvons leur apporter une aide directe, concrète et efficace avec la garantie de notre côté que 100 % des dons sont reversés et utilisés de la manière la plus étique qui soit, via notre contact Jagat Basnet.
Jagat s’engage (comme il nous l’a prouvé) à affecter l’argent dans cette coopérative de femmes qui investirait pour développer l’élevage de vaches, de chèvres et de productions maraichères.


Pour participer à ce projet

 

Si vous souhaitez vous joindre à ce projet-dons, il vous suffit d’aller sur le blog de l’association The Meal-Mies :  https://associationthemeal-mies.blogspot.ch/
Vous pourrez soit faire un versement par CB, télécharger le bulletin de versement ou un virement bancaire. Préciser Mention Népal, c’est important pour notre comptabilité !
Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant de la concrétisation du projet et de son développement.
De tout Cœur, merci d’avance, merci pour eux.

Les gouttes d’eau font les grandes rivières et deviennent des fleuves…



Sources complémentaires

 

 

Historique

 Il y a un peu plus d’une année a eu lieu au Népal ce terrible tremblement de terre qui a fait plus de 8’000 morts et a affecté 8 millions de personnes.

Notre ami, Jagat Basnet,  directeur du CSRC, organisation népalaise qui œuvre pour le droit à la terre (Community Self Reliance Center – Centre pour l’autonomie des communautés, www.csrcnepal.org) dans le district de Sindhupalchok (à 4 heures au nord de Katmandou), nous demandait de l’aide. Sa  communauté était gravement touchée, environ 3000 personnes ont perdu la vie dans cette région. Nous l’avions rencontré, par l’intermédiaire de Michel Baumann, en novembre 2014.
Grâce à votre générosité et votre solidarité, nous avons pu, en 2015, effectuer 2 versements :
Le 1ier  de 1090.– le 19 mai 2015
Et le 2ième de 2150.—en août.
Soit un total de 3240.—
Le premier versement a servi essentiellement et en priorité à l’achat de matériel de secours d’urgence et à construire des abris temporaires pour les six mois à venir en prévision de la mousson et pouvoir mettre ainsi à l’abri notamment la nourriture. Puis le projet a été de soutenir la reconstruction de maisons permanentes, notamment par ordre de priorité, celle de l’agriculteur le plus important de la région qui pouvait ainsi subvenir aux besoins alimentaires de la communauté. Une maison coûte environ 1000.– CHF
Le 2ième versement a été affecté à un groupe d’environ 142 femmes  de Talamarang-6, victimes du séisme,  afin de relancer leur moyen de subsistance. Elles ont toutes perdu certains membres de leur famille, leur maison ainsi que parfois leur bétail. 
 
 
Ce don a servi à la création de serres pour la culture de champignons ou l’élevage de chèvres sous forme d’une coopérative (9 serres au total).
  
 
Aujourd’hui, grâce à ce versement, cette coopérative de 142 femmes (soit 300 personnes) complète leur revenu grâce à cette culture.
Nous avons tous en mémoire que suite au tremblement de terre du 21 avril 2015,  des millions ont été envoyé au Népal, provenant des 4 coins du monde.
Mais il faut aussi savoir qu’une année après, très peu de népalais ont touché de l’argent. Le gouvernement népalais a bloqué ces sommes dans la banque centrale et proposent au compte-gouttes des micros-crédits aux sinistrés pour relancer leur moyen de subsistance, mais pas ou peu de crédit pour la reconstruction des maisons. Seules les personnes possédant un « land certificate » peuvent éventuellement obtenir une aide du gouvernement sous forme de crédit. Or, la plupart des népalais n’ont pas ce document. Les priorités du gouvernement sont  la gestion d’une grave  crise économique, politique et sociale.
Le Népal est un des pays les plus pauvres du monde, le gouvernement se déchire et le peuple, hormis le fait d’être encore plus paupérisé est extrêmement traumatisé.
A l’heure actuelle encore et quotidiennement le Népal est touché par des répliques plus ou moins fortes. Le traumatisme de séisme du 21 avril est revécu chaque jour.
Nous avons rencontré Jagat cette semaine, il se rendait à l’ONU pour tenter de faire reconnaitre son association et avoir plus de crédibilité face au gouvernement népalais.
Jagat nous a raconté que les mois qui ont suivi le tremblement de terre, énormément de personnes sont décédées, notamment des personnes âgées et fragiles somatiquement. D’une part parce qu’il a fait très froid durant l’hiver mais également pour des raisons psychologiques dues au traumatisme : anxiété et dépression.











S’abonner au flux RSS