Nous avons eu un coup de cœur pour ce désigner situé à Genève qui produit des sacs en se basant sur une production locale et le recyclage des matières inutilisées.
Vous trouverez ci dessous le descriptif pris de son site (http://biju.ch/)
À propos de Biju
Les sacs BIJU (Beauté, identité, joie et utilité) sont les créations d’un designer attentif à plusieurs aspects de notre société.
La production locale et le recyclage des matières inutilisées sont des notions qui lui sont chères, car elle promeuvent la transition vers un nouveau modèle: plus respectueux et plus durable.
Dans un projet alternatif à l’économie globale, lui, souhaite dès maintenant participer aux solutions qui permettent de répondre aux problématiques actuelles. Poussé par des valeurs, le projet BIJU tient compte de l’homme et de l’environnement. Son but est d’offrir aux citoyens la possibilité d’acquérir un produit qui soutienne le développement d’une société à venir, plus équilibrée, plus saine et plus cohérente. Le projet met aussi l’accent sur la fonctionnalité, la résistance du produit. Des commandes personnalisées sont aussi possibles, tout comme des sacoches pour vélo.
« Je ne veux pas participer à ce modèle de société qui a donné à l’argent plus d’importance qu’à la vie. Je suis ici-bas pour vivre, je ne suis pas ici pour augmenter le produit national brut. » Pierre Rabhi
Soutenez un projet qui amène des solutions pour le monde de demain.
Les sacs BIJU souhaitent:
– Amener de la vie et de la beauté en ville
– Favoriser un bon LCA (Life Cycle Assessment)
– Faire partie d’une économie locale et redynamiser le tissu social.
– Sortir de la monnaie traditionnelle. Troc, partage…
– Participer à la mobilité douce en créant des bagages pour vélo.
– Placer l’humaine et les valeurs avant le profit financier.
– Offrire un service particulier aux acheteurs : des commandes personnalisées pour redonner une identité à l’individu.
– Créer avec des matières solides et concevoir avec soin pour assurer une durabilité à l’objet. Avec des réparations possibles dans le temps.
« Le monde que je rêve ne deviendra réel que si d’autres personnes viennent le rêver avec moi. » Yvan Mermod, inspiré par Hundertwasser.
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